François Marland

Avocat

Grâce à son Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat (CAPA), François Marland a intégré le barreau de Paris en 1979 avant de le quitter en 1987 pour se lancer dans le monde des affaires. Il s’y réinscrit à Paris et à Bruxelles de 2001 à 2008.

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Homme d’affaires

François Marland s’est lancé dans le monde des affaires de 1988 à 1992. Pendant ces quatre ans, il a réussi à bâtir de toute pièce Marland Distribution. Un groupe d’entreprises spécialisées dans la distribution de produits alimentaires, la communication, l’immobilier, la réparation de matériels ferroviaires et la vente d’équipements sportifs et de matériels d’hygiène.

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Psychothérapeute

Psychothérapeute pendant quelques années, François Marland a notamment travaillé avec le docteur Barry Austin Goodfield, psychothérapeute de San-Francisco. Il a également exercé seul auprès de clients privés, dont quelques noms connus. Pour finir, il a collaboré avec son père, Serge, pour l’écriture d’un livre sur les troubles de l’enfance.

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Qui est François Marland ?

Résumer la vie de François Marland n’est pas chose aisée. Elle pourrait facilement faire l’objet d’un livre ou d’un film. Acharné de travail, il a une vie est très intense et porte de nombreuses casquettes : avocat, thérapeute, homme d’affaire, professeur, entrepreneur, donateur pour des associations caritatives, etc. Sa vie n’étant pas assez chargée comme ça, il a même trouvé le temps d’écrire un livre avec son père, Serge Marland, sur la manière de guérir les troubles de l’enfance.
Afin de cerner un peu plus le personnage, il convient de passer sa vie au crible : son enfance et ses études, son parcours professionnel, ses nombreux métiers et sa collaboration avec son père pour l’écriture d’un livre.

Son enfance et ses études

François Marland est le fils du pédiatre Serge Marland et est né le 17 janvier 1954. Pendant son enfance, il a fait toute sa scolarité à Paris. Il a donc fait ses études primaires et secondaires à l’école Rue de Florence (1966 – 1971), au collège Sainte-Barbe (1972 – 1973) et au Cours Polles Rocher (1973 – 1974).

Ensuite, il obtient son BAC en 1974 et s’inscrit à la faculté de droit à l’Université de Nanterre, alors qu’il est passionné par la médecine. Il décroche un DEUG (Diplôme d’Etudes Universitaires Générales), une Licence et une Maîtrise en Droit et un Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat (CAPA), ce qui lui permet d’intégrer le barreau de Paris en 1979. En parallèle, il exerce la profession de thérapeute de temps en temps avec son père, Serge, et donne des cours de droit et de management.

Après avoir exercé les trois activités en même temps pendant plusieurs années, il finit par abandonner l’enseignement et son activité d’avocat en 1987. C’est à cette date qu’il intègre le monde de l’entrepreneuriat.

Son parcours dans les affaires

C’est dans les années 90 que François Marland s’affirme dans le monde des affaires. L’ancien avocat mise sur une stratégie marketing basée sur le rachat d’entreprises. En tout, il rachète plus d’une centaine de sociétés dont deux en difficulté. En premier lieu, il acquière Elmetherm, un géant dans la fabrication d’étuves et de fours industriels sur mesure. L’entreprise est très connue dans le domaine de l’industrie de pointe et compte de nombreux clients célèbres comme PSA Peugeot Citroën, Nobel Automotive, Danone, etc. Elle réalise la conception et la fabrication de fours, d’étuves et de tunnels avec des solutions de convoyage et de manutention pour toutes les applications industrielles.

Ensuite, il va fonder le groupe Marland Distribution en reprenant plusieurs entreprises spécialisées dans la distribution de produits alimentaires, la communication, la réparation de matériels ferroviaires, l’immobilier, la vente d’équipements sportifs et de matériels d’hygiène. Entre 1991 et 1992, l’homme d’affaires reprend plusieurs activités de commerce de gros. On peut citer, entre autres, Rallye, un groupe breton d’activité de gros et de supérettes. En achetant ce groupe, l’homme d’affaire ne fait pas une mauvaise opération mais plutôt un coup de maître. En effet, il réussit à sortir d’un secteur jugé difficile pour mieux se recentrer sur ce qu’il sait faire de mieux : l’hypermarché et la distribution. Ensuite, il rachète Disco (activité de commerce de gros à destination du commerce de proximité indépendant) et fait exécuter une opération loin d’être anodine puisqu’elle crédibilise les ambitions et l’expertise du jeune homme d’affaires dans le secteur de la distribution. Après, il acquière Escoulan (leader de la distribution de gros dans le Sud-Ouest). Avec ce rachat, il peaufine la création du pôle distribution de son entreprise et concrétise son projet de contrôle de la zone Sud-Ouest de la France avec différentes entreprises. De ce fait, Marland Distribution devient une des plus grandes entreprises de distribution dans le sud de la France. Cette coalition de grossistes permet de concurrencer les grands noms de la grande distribution comme Promodès. C’est un groupe appartenant à hauteur de 56% à la famille Halley qui a connu une expansion exponentielle dans les années 90 avant d’être fusionné à Carrefour.

La même année, l’ancien avocat lance une émission d’OBSA (obligations à bons de souscription d’actions) et perçoit 250 millions de francs pour Marland Distribution. Cette somme lui permet d’augmenter le capital de Disco de 132 millions, c’est la filiale qui génère la plus grande partie des activités de l’entreprise. En complément, 70 millions sont investis pour augmenter le capital d’EDA (Euro Distribution Alimentaire), pôle de regroupement d’affaires régionales de distribution alimentaire créé en 1988. D’autres augmentations de capitale suivent et concernent la branche industrielle de Marland Distribution et ses filiales Mapub et la Financière du Cuir. Grâce à cette émission, François Marland peut désendetter son groupe en le recapitalisant après les multiples acquisitions conclues dans le commerce de gros durant les quatre dernières années.

En décembre 1992, il revend son entreprise suite à des problèmes de santé. Il démissionne de tous ses mandats de Marland Distribution et est remplacé à la présidence du groupe par son bras droit, Éric de Bodman. Victime d’un accident cardiaque à l’âge de trente-huit ans, il conserve tout de même le contrôle du groupe. Il laisse derrière lui près de 2000 magasins dans toute la France. Le chiffre d’affaire de Marland Distribution avoisine les 10 milliards de francs et emploie plus de 4500 personnes. Il termine donc sa carrière comme une figure marquante dans le domaine de la grande distribution et est même devenu le numéro deux en matière de grossiste français.

L’ancien homme fort de Marland distribution s’est réinscrit aux barreaux de Paris et de Bruxelles de 2001 à 2008 pour exercer à nouveau sa profession d’avocat. Depuis 2009, il est le Président Directeur Général de Veris Gold Corp, une société nord-américaine d’exploration et de développement de propriétés minérales. Aujourd’hui encore, il investit dans de nombreuses entreprises et associations caritatives. Pour finir, il vit des jours paisibles en Suisse avec sa femme et ses trois enfants.

Néanmoins pour comprendre complètement le parcours de cette homme d’action, il est nécessaire de se pencher en détail sur le livre qu’il a écrit avec son père.

Une collaboration fructueuse avec son père

Comme dit en introduction, François Marland était d’abord passionné par la médecine. Chose assez évidente quand on sait que son père, Serge Marland, était un éminent pédiatre et psychothérapeute. Il a à la fois travaillé avec une clientèle privée et à l’hôpital. Il est notamment l’auteur de plusieurs livres traitant des problèmes de l’enfance : Voulez-vous un enfant heureux ? en 1973, Promenade dans la forêt des petites souffrances inutiles en 1999 et Guérir des pièges de notre enfance ? en 1982, qu’il a co-écrit avec son fils. Il était tout indiqué pour aider son père dans cette lourde tâche. En effet, François Marland, un homme au parcours complexe qui a été tour à tour avocat, enseignant et psychothérapeute, a travaillé avec le docteur Barry Austin Goodfield, psychothérapeute de San-Francisco. Il a également exercé seul auprès de clients privés, dont quelques noms connus.

Dans l’ouvrage Guérir des pièges de notre enfance ? le père et le fils, qui partagent tous les deux le goût de la psychothérapie, abordent ensemble le thème difficile de l’enfance. Projet majeur qui force le respect et l’intérêt. Ensemble, Serge et François Marland cherchent à savoir si l’on peut guérir de ses anciens chagrins et de ses vieilles souffrances pour enfin vivre mieux sa vie d’adulte. Pour eux, notre vie présente est forcément impactée par notre vie passée. Un passé parfois trop lourd à porter avec des situations douloureuses que chacun s’efforce d’oublier. Néanmoins, pour ces deux psychothérapeutes, les différentes solitudes et douleurs du passé sont toujours présentes, cachées au plus profond de notre être. La solution apportée par le livre est de simplement regarder ces souffrances en face. Ce regard introspectif permet de comprendre les soucis de la vie quotidienne et même différentes pathologies physiques qui prennent leur source dans notre mal mental. Mais la force de cet ouvrage, ce n’est pas de poser un constat de l’état des lieux des problèmes psychiques, c’est de réfléchir à une manière de guérir et de sortir de cette douleur. Il fallait bien l’alliance d’un père et son fils pour dresser le bilan et exposer les solutions à ce problème récurrent.

Un livre qui fait écho aux psychothérapies émotionnelles

Le livre écrit par Serge Marland et son fils, François, s’appuie et fait écho à des travaux menés par de nombreux psychanalystes. En ligne de mire, on retrouve le célèbre Sigmund Freud (neurologue autrichien, fondateur de la psychanalyse), qui avait lui-même mis en exergue dès ses premiers travaux, le fait que notre enfance façonne notre manière d’interagir avec le monde une fois adulte. Bien que la majorité de ses théories aient été largement déconstruites par les nouveaux psychologues, il a mis la communauté scientifique sur les bonnes pistes. Ainsi, comme l’explique Marland père et fils dans leur livre, les décisions que nous prenons aujourd’hui et notre manière d’appréhender le présent sont en grande partie conditionnées par notre passé, et en particulier les événements douloureux.

Les deux brillants auteurs accomplissent l’exploit d’apporter les nouvelles thérapies venues d’Outre-Atlantique en France grâce à leur ouvrage. Ils exposent notamment les éléments communs qui se retrouvent dans les diverses psychothérapies émotionnelles. Le livre fait le pari audacieux de déblayer le chemin de la psychothérapie émotionnelle. Pari difficile s’il en est car la discipline foisonne de théories en tout genre, les deux auteurs ont donc dû effectuer un tri nécessaire. Les exemples exposés par la suite ne sont pas nécessairement présents dans l’œuvre de Serge et François Marland mais ils permettent de dresser un portrait des possibilités actuellement étudiées et de prendre la mesure de la lourde tâche à laquelle se sont attaqués les psychothérapeutes.

Les émotions sont une problématique complexe qui soulève bon nombre de questionnement et nécessitent à chaque fois un contexte spécifique pour être comprises. Par exemple, dans leur livre, les deux auteurs prennent l’exemple de la langue. Les auteurs du livre s’intéressent beaucoup aux thérapies issues d’Amérique du Nord, or il s’agit d’une zone géographique où l’on ne parle pas français. En effet, dans de nombreuses études, la langue est un vecteur d’émotion et les spécificités de chaque langue doivent être prises en compte pour guérir des troubles de son enfance. Le travail de ces deux français interroge donc l’universalité des émotions.

De plus, les deux psychothérapeutes ont essayé et analysé un bon nombre de thérapies, à l’image de nombreux patients. En effet, on observe de plus en plus de nouveaux comportements chez les nouveaux patients. Ils ont notamment tendance à essayer des thérapies très diversifiées, traditionnelles comme alternatives, et de changer de méthode et de thérapeute fréquemment. Cette nouvelle tendance est qualifiée de « nomadisme ». Certaines personnes enchaînent ainsi les psychothérapies différentes, soit sur de longues périodes, soit sur de courtes périodes. Elles n’hésitent pas non plus à consulter plusieurs spécialistes en même temps. Elles peuvent ainsi passer de groupes de discussion à la consultation d’un psychothérapeute dans son bureau. Ces personnes font notamment l’objet de différentes études par des professionnels. Sont-elles en train de fuir face à la réalité de leurs problèmes ? Cherchent-elles vraiment la meilleure thérapie ? Ou alors, restent-elles en mouvement pour avoir l’illusion d’avancer ? Ce débat a le droit et le mérite d’exister et peut notamment trouver des éléments de réponse dans le livre du père et du fils Marland.

Les psychothérapies émotionnelles

Le livre Guérir des pièges de notre enfance ? s’attache tout particulièrement à la thérapie émotionnelle. Comme son nom l’indique ce genre de psychothérapie se focalise sur les émotions des patients. Par exemple, dans les groupes de paroles traditionnels, les participants parlent à tour de rôle alors que dans les groupes utilisant cette nouvelle technique, les patients prennent la parole quand ils ressentent quelque chose. Le but de la thérapie émotionnelle est de faire un travail sur soi pour retrouver des sentiments enfouis depuis longtemps. Comme dit plus haut, c’est les émotions, les souffrances, les douleurs et les solitudes passées qui impactes la vie présente des adultes. Le but de ce travail sur soi est donc de faire ressurgir ces émotions cachées pour pouvoir les exprimer, les extérioriser et les évacuer pour mieux vivre. Le livre de Serge et François Marland en parle très bien.

L’importance de développer l’outil « émotion » est donc au cœur de cette technique. La psychothérapie émotionnelle apprend aux patients à faire confiance à ce qu’ils ressentent, à laisser s’exprimer leurs émotions, à s’en servir pour qu’ils puissent se connaître et se donner les moyens d’aller mieux. C’est notamment les émotions qu’ils ressentent lorsqu’ils sont enfant qui les marquent au plus profond de leur être.

Pour pouvoir retrouver ses émotions primaires, diverses techniques peuvent être mises en place. Il est possible d’avoir un contact physique avec le psychothérapeute ou un membre du groupe ou bien pouvoir exprimer son agressivité en frappant sur des matelas. La dynamique de la psychana­lyse est essentiellement basée sur la frustration. L’autre, l’analyste, renvoie au manque, au vide, à la séparation. En psychothérapie émotionnelle, la frustration n’est pas considérée comme la bonne solution. Il y a des gens qui ont tellement manqué d’affection dans leur enfance qu’ils ne sentent même plus à quel point ils en ont besoin. À ceux-là, il faut parfois un long temps d’adaptation, de contact, avant qu’ils puissent même accéder à leur propre souffrance et se donner les moyens de rétablir des relations satisfaisantes avec les autres. En psychothérapie émotionnelle, le fait de pouvoir communiquer à un niveau très primaire (toucher, faire un son, des gestes), de se découvrir et de s’exprimer à travers un vécu sensoriel (respirer, étouffer, avoir mal au cœur), permet de remonter à des périodes très précoces dans le développement de l’enfant, antérieures même à l’acquisition du langage. C’est en acceptant ces pratiques que l’adulte peut retrouver un contact très profond avec lui-même et ainsi faire face à ses problèmes pour pouvoir les régler une bonne fois pour toute.

La place du thérapeute est aussi tout autre. Il se différencie de l’analyste, il n’est pas neutre et ne se réduit pas seulement à une présence qui écoute. Ce sont des figures parentales qui laissent les projections se faire et les utilisent pour mettre en situation le problème du patient. Ainsi, l’adulte peut revivre la façon dont il a cherché à se faire aimer : être faible pour se faire aimer, cacher sa féminité pour éviter la rivalité, faire rire pour plaire, etc. Le thérapeute est aussi quelqu’un qui a appris à accepter ses émotions et à les vivre sans s’y identifier. Enfin, ils ont pour rôle de faire respecter le cadre et les règles de la thérapie. Ces limites, acceptées de part et d’autre, constituent une protection, un repérage et aussi un moyen de rencontrer les vraies difficultés. Dans la vie, il est possible de rejeter la faute sur les autres et dire qu’ils sont la cause de tous les problèmes mais dans un cadre où tout est fait pour être confronté à soi-même, c’est plus compliqué. C’est donc grâce à tous ces outils et ses techniques que la psychothérapie émotionnelle peut permettre de résoudre des problèmes profonds liés à l’enfance. Ce mal-être est le point névralgique du livre de Serge et François Marland.

Ce chapitre de sa vie permet de nuancer le portrait de cet homme d’affaires. En effet, premièrement passionné par la médecine, il s’est tout de même tourné vers le monde des affaires avec de grandes réussites. Néanmoins, l’écriture d’un livre avec son père témoigne de deux choses. D’une part, on peut dire que François Marland est quelqu’un qui est grandement attaché à sa famille et deuxièmement, c’est aussi une personne qui reste fondamentalement passionnée par la médecine et les sciences humaines. En clair, c’est un homme qui est profondément humain derrière son côté purement commercial.

Un homme au parcours de vie bien rempli

En résumé, François Marland est un personnage difficile à cerner. Possédant plusieurs casquettes et ayant exercé plusieurs métiers, c’est un homme au parcours complexe et varié. Né en 1954, il a fait l’ensemble de sa scolarité primaire et secondaire à Paris. Il a ensuite été à Nanterre pour obtenir une Maîtrise de droit et exercé le métier d’avocat au barreau de Paris pendant quelques années. En parallèle, il a exercé la profession de thérapeute, de temps en temps avec son père, Serge, et a donné des cours de droit et de management dans plusieurs établissements.

A côté, il a trouvé le temps de coécrire un livre avec son père, Serge Marland. Revenant à sa première passion qu’est la médecine, il s’exprime dans ce livre sur un domaine qui lui tient particulièrement à cœur : la psychothérapie émotionnelle et la psychanalyse. Avec son paternel, il revient sur les problèmes de l’enfance qui peuvent, à l’âge adulte, entraîner des souffrances fortes et handicapantes. Les deux auteurs, avec un temps d’avance, exportent les techniques utilisées Outre-Atlantique pour répondre à des problèmes rarement solutionnés.

Néanmoins, il a concentré le plus gros de sa carrière sur les affaires et le rachat d’entreprises. A la fin de cette carrière, il était à la tête d’un vaste empire qui était le numéro deux des grossistes en France et son groupe pesait presque 10 milliards de francs.

Après son accident de santé qui l’a forcé à se retirer des affaires et à vendre son groupe, Marland Distribution, qu’il a mis des années à construire, François Marland s’est réinscrit aux barreaux de Paris et de Bruxelles de 2001 à 2008 pour exercer à nouveau sa profession d’avocat. Depuis 2009, il est le Président Directeur Général de Veris Gold Corp, une société nord-américaine d’exploration et de développement de propriétés minérales qui exploite notamment des mines d’or.

Pour finir, aujourd’hui et toujours à la tête de Veris Gold Corp, l’ancien homme d’affaires investit dans de nombreuses entreprises et associations caritatives. Après une longue carrière et une vie bien remplie, il écoule des jours heureux en Suisse avec sa femme et ses trois enfants.

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